Convoqué par le sous-directeur

En classe de terminale, j'avais tout juste 18 ans. J'étais plutôt discret mais indiscipliné aussi.
Ce qui me valu une convocation dans le bureau du sous directeur de mon établissement, qui était aussi mon prof d' histoire.
Je frappe à la porte , il me fait entrer en me dévisageant, le regard sévère. Je sentait qu'il aimait bien exercer son pouvoir sur les élèves, et je discernait une pointe de satisfaction dans son attitude.
Il avait 55 ans, brun dégarni, en costume sombre sans cravate. Le haut de sa chemise était déboutonnée, laissant entrevoir une forte pilosité du torse.
- Alors Fabrice, me dit-il, je ne sais plus quoi faire pour que tu respectes les règles du lycée. Tu as été vu plusieurs fois en train de fumer dans les couloirs, et tes résultats sont en chute libre. Je sais que tu es intelligent pourtant.
- oui monsieur, je sais, je vais faire attention.
Je ne pouvais détacher mon regard de son décolleté velu, fantasmant sur le reste de son torse dissimulé sous sa chemise.
Il m'avait bien cerné depuis plusieurs semaines, et lorsqu'il me demandait de rester pour discuter après son cours, quand les autres élèves étaient sortis de classe, j'avais droit à un sermon et il m'avait parfois caressé les cheveux avant de me libérer.
- Cette fois je vais être obligé de te mettre un avertissement, tu était prévenu.
- Oh non monsieur, s'il vous plait, mes parents vont me tuer !
Il se lève, et contourne son bureau. Il se place derrière moi et pose se mains sur mes épaules.
- C'est dommage, je t'aime bien tu sais ? Je suis sûr que tu peux être un bien meilleur élève.
Il caresse mes épaules, et je sens son parfum autour de moi.
- Tes épaules ne sont pas bien larges, tu devrait faire un peu plus de sport. Moi j'ai fait beaucoup de natation à ton âge, et j'ai gagné en muscles.
Il se place devant moi et retire sa veste de costume.
- Tu vois, ces épaules larges, c'est la nage.
Je regarde son corps, intimidé et excité à la fois. Il sourit et déboutonne sa chemise.
- Attends tu vas mieux te rendre compte.
Il défait le dernier bouton et ouvre sa chemise. Je suis subjugué par sa pilosité a****le. Les poils lui recouvre tout le torse. Son ventre bedonnant et très fourni aussi. Je distingue tout de même ses deux tétons saillant de ses pectoraux velus.
Il prends ma main et la pose sur son torse.
- Tu en penses quoi ?
- C'est heu ... c'est doux.
Il rit et fait glisser ma main sur un de ses tétons. Je passe mon pouce dessus machinalement ce qui le fait durcir immédiatement. Il cesse de sourire et lâche un petit gémissement de satisfaction.
- A toi, enlève ton tee-shirt !
Surpris, et plutôt pudique de nature, je reste immobile.
Il prend le bas de mon tee-shirt et le soulève pour le retirer. Je le laisse faire sans réagir.
Il caresse mon torse imberbe et titille mes tétons l'un après l'autre. je ne peux retenir un petit gémissement.
Encouragé, il se penche vers moi et enfonce sa langue dans ma bouche. Il me roule une pelle profonde en caressant mon ventre. Je sens ma queue qui se gonfle instantanément dans mon jean.
Il se redresse et me regarde, l'oeil excité. Je baisse les yeux et je vois une bosse énorme sous son pantalon.
Voyant que je suis consentant, il déboutonne son pantalon, baisse sa braguette et sors son sexe de son slip.
Sa queue est courte et très épaisse. Il décalotte son gland déjà humide.
- Tu en as envie ? me demande t-il
- Heuu, oui, dis-je d'une toute petite voix.
Il me saisit par la nuque et pose le bout de son gland sur mes lèvres. J'ouvre la bouche et il s'enfonce doucement à l'intérieur en gémissant. Je sens son membre brûlant palpiter dans ma bouche, et je me mets à le téter doucement. Je prends ses couilles dans une main pour jouer avec.
- Oui hmmm Fabrice, c'est bon.
Je le suce, son ventre poilu se frotte contre mon front. Il respire de plus en plus fort. Ma salive s'écoule tant l'épaisseur de son sexe remplit ma bouche.
- Hmmm oui, là tu es un bon élève Fabrice ! Ooooh ! Tu vas avoir ta récompense, ouiii !
Il est pris de spasmes, et déverse un flot continu de semence dans ma bouche. Je m'efforce d'en évacuer
au fur et à mesure pour ne pas étouffer, tout en le suçant plus fort.
- AAh ouiii ...
Il se retire, essoufflé, et s'asseoit sur une chaise à côté de moi, le pantalon toujours baissé aux chevilles.
Son sexe se ramollit et se recroqueville entre ses jambes.
Je m'agenouille devant lui et glisse ma langue dans son prépuce fripé en caressant son torse poilu.
Il me caresse les cheveux en soupirant.
- Ca va Fabrice, tu peux retourner en classe !
Je me relève, je baisse mon pantalon et mon caleçon, et me masturbe en frottant mon gland sur son ventre.
J'éjacule dans sa forêt de poils en gémissant.
Il me regarde d'un oeil sévère.
- Tu reviens ici après les cours du soir !
- Oui monsieur.